Editorial : Gassim Chérif le piment qui pique l’œil

Dans un paysage politique souvent dominé par les voix les plus bruyantes, il est des personnalités dont l’influence s’exerce avec maîtrise, rigueur et efficacité. Le ministre de la Communication en est l’illustration parfaite. À la tête de la commission gouvernementale qu’il dirige avec doigté, il a su imposer un style sobre mais redoutablement efficace, où la compétence prime sur la démonstration.
Depuis sa prise de fonction, ce ministre n’a cessé de prouver qu’il est non seulement un technicien de la communication, mais aussi un stratège politique doté d’une vision claire. Grâce à sa capacité d’écoute et à sa compréhension fine des enjeux, il a su faire de la commission gouvernementale un véritable moteur de coordination et d’harmonisation de l’action publique.
Sous son impulsion, les messages gouvernementaux ont gagné en clarté, en cohérence et en impact. Il a su instaurer un dialogue fluide entre les institutions, tout en restant fermement ancré dans les principes de transparence et de responsabilité. Sa gestion méthodique, conjuguée à une connaissance pointue des rouages de l’administration, a permis de fluidifier les prises de décision et d’éviter les blocages inutiles.
Mais au-delà de sa fonction, c’est aussi une certaine idée du service public qu’il incarne : celle d’un engagement constant au service de l’intérêt général, loin des postures et des effets d’annonce. Un homme de dossiers, un homme de synthèse, un homme de résultats.
Dans un contexte où les défis de gouvernance sont nombreux, le rôle du ministre de la Communication dans la stabilité et la cohésion de l’appareil gouvernemental mérite d’être salué. Et s’il agit souvent dans l’ombre, c’est pour mieux éclairer le travail collectif auquel il contribue avec rigueur et loyauté.